on_tour

2024 03

Dompter les rivières

2024-03-06T11:52:27+01:00Catégories : Soundwalk|Mots-clés : , , , , , |

Musique pour un parcours sonore géolocalisé, de type fiction-documentaire, au quartier du Wacken, Strasbourg.

Textes écrits par Lucie Taïeb.

Le parcours est disponible sur l’application GOH.

Music for a geolocalized soundwalk – documentary/fiction type – in the Wacken district, Strasbourg.

Texts written by Lucie Taïeb.

The soundwalk is available on the GOH application.

Dompter les rivières est une fiction sonore géolocalisée, plurielle et polyphonique, qui donne à entendre, le temps d’une balade, la multiplicité des facettes du Wacken, quartier patchwork en perpétuelle mutation.

Un personnage fil rouge, inspiré de la voyante tunisienne présente lors de l’exposition coloniale de 1924, nous guide à travers les siècles et les espaces. Elle nous permet de naviguer entre son présent, le nôtre, et un futur plus lointain (2123). Sa voix en croise d’autres plus neutres, factuelles, emportées, poétiques ou encore politiques. Dompter les rivières, c’est aussi l’histoire d’un lieu qui se met en scène en fonction des idéologies qui l’habitent. Un lieu sauvage et veiné d’eau qui peu à peu, de grands récits en grands récits, cède la place à un environnement utilitariste, complètement maîtrisé. 

Mais, sous le décor de cette perpétuelle comédie, l’eau s’écoule toujours paisiblement à la recherche d’interstices propices à son jaillissement.

Dompter les rivières (Tame the rivers) is a multi-faceted, polyphonic, geo-localised soundwalk that takes you on a stroll through the many facets of Wacken, a patchwork district undergoing constant change.

A guiding character, inspired by the Tunisian fortune-teller who was present at the 1924 colonial exhibition, takes us through centuries and spaces. She allows us to navigate between her present, our present, and a more distant future (2123). Her voice intersects with others that are more neutral, factual, passionate, poetic or political. Dompter les rivières is also the story of a place that stages itself according to the ideologies that inhabit it. A wild place, veined with water, which little by little, from one narrative to the next, gives way to a utilitarian environment, completely under control.

But beneath the backdrop of this perpetual comedy, the water is always flowing peacefully, looking for the right gaps to gush out.

Crédits :

Réalisation : Gaëtan Gromer

Texte : Lucie Taïeb

Musique : Eve Risser, Antoine Spindler

Prises de son : Antoine Spindler

Visuel : ©Naohiro Ninomiya

Voix : Fayssal Benbahmed, Pauline Leurent, Maxime Pacaud, Marie Seux

Production : Les Ensembles 2.2

Co-production : Festival Musica, Théâtre le Maillon

Credits:

Realisation: Gaëtan Gromer

Text: Lucie Taïeb

Music: Eve Risser, Antoine Spindler

Sound recording: Antoine Spindler

Visual: ©Naohiro Ninomiya

Voices: Fayssal Benbahmed, Pauline Leurent, Maxime Pacaud, Marie Seux

Production: Les Ensembles 2.2

Co-production: Festival Musica, Theatre le Maillon

2022 09

Oniropolis

2024-03-06T11:05:22+01:00Catégories : Soundwalk|Mots-clés : , , , , , |

Musique pour un parcours sonore géolocalisé, de type fiction d’anticipation, à Schiltigheim.

Textes écrits par Sebastian Dicenaire.

Le parcours est disponible sur l’application GOH.

Music for a geolocalized soundwalk – science fiction type – in Schiltigheim.

Texts written by Sebastian Dicenaire.

The soundwalk is available on the GOH application.

Dans un futur proche, Oniropolis, un réseau social d’un genre nouveau, est un véritable phénomène auprès des adolescents. Il permet d’enregistrer, géolocaliser et partager ses rêves. Il permet également, grâce à  sa célèbre carte onirique, de glaner les rêves des autres utilisateurs. 

Mais depuis quelques heures, l’application est à l’arrêt. Un bug semble s’être déclenché dans le programme, quelque part en France, vraisemblablement à Schiltigheim. L’entreprise décide alors d’envoyer quelqu’un à l’intérieur d’Oniropolis pour déterminer l’origine de la panne et nettoyer le système. Cette personne, c’est vous.

Oniropolis est une fiction sonore à ciel ouvert, imaginée et produite par Les Ensembles 2.2. Il s’agit d’une histoire à écouter dans les rues de Schiltigheim qui vous transporte dans un monde imaginaire au travers d’un récit d’anticipation.

Le contenu a été enrichi par la participation des élèves de huit classes des établissements scolaires de la ville, qui ont partagé le regard qu’ils posent sur leur lieu de vie, à travers des anecdotes et des histoires, réelles ou imaginaires.

In the near future, Oniropolis, a new kind of social network, is a craze among teenagers. It allows you to record, geolocate and share your dreams. Thanks to its famous dream map, it also allows you to glean the dreams of other users.

But for a few hours, the application has been down. A bug seems to have been triggered in the program, somewhere in France, probably in Schiltigheim. The company decides to send someone into Oniropolis to determine the source of the failure and clean up the system. That person is you.

Oniropolis is an open-air audio story, created and produced by Les Ensembles 2.2. It is a story to be listened to in the streets of Schiltigheim that transports you to an imaginary world through a science fiction narrative.

The content was enriched by the participation of pupils from eight classes in the town’s schools, who shared their view of their living environment through anecdotes and stories, real or imaginary.

Crédits :

Direction artistique : Gaëtan Gromer

Texte : Sebastian Dicenaire

Musique : Svië (Gaëtan Gromer, Antoine Spindler)

Prises de son : Svië

Visuel : ©Naohiro Ninomiya

Voix : Pauline Leurent, Milan Morotti

Intervenants pédagogiques : Arthur Gander, Hugo Siclier, Sylvain Debrock

Derush entretiens et ateliers : Valentin Hetzel

Production : Les Ensembles 2.2

Co-production : Festival Musica

Remerciements : Sylvie Zorn, les élèves et professeurs des différents établissements pour leur implication dans le projet.

Credits:

Artistic director: Gaëtan Gromer

Text: Sebastian Dicenaire

Music: Svië (Gaëtan Gromer, Antoine Spindler)

Sound recording: Svië

2022 03

Acid Reine Cie.

2024-03-06T11:06:12+01:00Catégories : Soundwalk|Mots-clés : , , , , , , |

Musique pour un parcours sonore géolocalisé, de type fiction, à Belval, Esch-sur-Alzette, Luxembourg.

Textes écrits par Sebastian Dicenaire.

Le parcours est disponible sur l’application GOH.

Music for a geolocalized fiction-type soundwalk in Belval, Esch-sur-Alzette, Luxembourg.

Texts written by Sebastian Dicenaire.

The soundwalk is available on the GOH application.

Bienvenue à Belval, siège de l’Acid-Reine company, l’entreprise du numérique la plus prometteuse de ces dernières années. Pourquoi êtes-vous venu.e ici exactement ? Et que savez-vous de l’Acid-Reine company ?

Dans ce parcours sonore d’anticipation, une entreprise innovante propose de recycler vos données numériques en énergie verte quasi illimitée. Mais ce succès est teinté de mystère : des deux fondateurs de l’entreprise, l’un est devenu fou, et l’autre a disparu dans des circonstances inexpliquées…

Le récit invite à “passer la frontière” : celle entre le visible et l’invisible, le réel et l’imaginaire ; entre Belval et le reste du monde. La composition musicale retranscrit l’étrangeté du quartier : un lieu moderne, en mutation, multicouches, aux frontières de l’irréel.

Acid-Reine Cie. a été créé dans le cadre du projet In the field, pour Esch2022, Capitale européenne de la culture.

Welcome to Belval, home of the Acid-Reine company, the most promising digital company of recent years. Why exactly did you come here? And what do you know about the Acid-Reine company?

In this futuristic soundtrack, an innovative company offers to recycle your digital data into almost unlimited green energy. But this success is tinged with mystery: of the two founders of the company, one went mad, and the other disappeared in unexplained circumstances…

The story invites us to ‘cross the border’: between the visible and the invisible, the real and the imaginary; between Belval and the rest of the world. The musical composition conveys the strangeness of the neighbourhood: a modern, changing, multi-layered place on the borders of the unreal.

Acid-Reine Cie. was created as part of the In the field project for Esch2022, European Capital of Culture. 

Crédits : 

Texte : Sebastian Dicenaire

Musique : Svië (Gaëtan Gromer, Antoine Spindler)

Prises de son : Marc Namblard

Illustration : Valérie Etterlen

Voix : Matëo Granger, Yann Hartmann, Pauline Leurent (version française), Richard Doust, Ella Perrin (version anglaise)

Studio Voix : Innervision

Direction artistique : Gaëtan Gromer

Production : Les Ensembles 2.2

Remerciements : Le Fonds Belval

Credits:

Text: Sebastian Dicenaire

Music: Svië (Gaëtan Gromer, Antoine Spindler)

Sound recording: Marc Namblard

Illustration: Valérie Etterlen

Voices: Matëo Granger, Yann Hartmann, Pauline Leurent (French version), Richard Doust, Ella Perrin (English version)

Voice Studio: Innervision

Artistic director: Gaëtan Gromer

Production: Les Ensembles 2.2

Acknowledgements : The Belval Fund

2022 03

La Borne de fer

2024-03-06T11:06:45+01:00Catégories : Soundwalk|Mots-clés : , , , , , , |

Musique pour un parcours de fiction sonore géolocalisé à Audun-Le-Tiche, en Moselle.

Textes écrits par Matthieu Epp.

Le parcours est disponible sur l’application GOH.

Music for a geolocated fictional sound walk in Audun-Le-Tiche, Moselle.

Texts written by Matthieu Epp.

The route is available on the GOH application.

Ensemble nous allons partir à la recherche d’une mystérieuse créature qui hante le bois depuis une éternité. Je ne suis plus en état de me déplacer malheureusement, mais grâce à cette application, je vais pouvoir te guider. D’ailleurs, elle nous permettra aussi de capter et d’entendre la voix de cette mystérieuse créature pour comprendre qui elle est et ce qu’elle fait là. Enfin, si tout fonctionne comme prévu.

La Borne de Fer est un parcours sonore où les participants sont dirigés par le concepteur d’un “détecteur de zones d’émission sonore”. Le but est de découvrir ce qui se cache dans les bois depuis l’époque romaine, en retrouvant les bribes d’histoires éparpillées dans la forêt.

Imaginée à partir de l’histoire de la région, cette quête s’inspire également du potentiel poétique et légendaire de la forêt de la Borne de Fer et de son paysage marqué par l’extraction minière.

La Borne de Fer a été créée dans le cadre du projet In the field, pour Esch2022, Capitale européenne de la culture.

Together, we will go in search of a mysterious creature that has been haunting the woods for an eternity. Unfortunately, I am no longer able to move around, but this app will help me guide you. Moreover, it will also let us capture and hear the voice of this mysterious creature, to understand who it is and what it is doing there. If everything works out as planned, that is.

La Borne de Fer is a sound trail where participants are guided by the designer of a ‘sound emission zone detector’. The aim is to discover what has been hidden in the woods since Roman times, by finding bits and pieces of stories scattered around the forest.

Based on the history of the region, this quest is also inspired by the poetic and legendary potential of the Borne de Fer forest and its mining landscape.

La Borne de Fer was created as part of the In the field project, for Esch2022, European Capital of Culture.

Crédits :

Texte : Matthieu Epp

Musique : Svië (Gaëtan Gromer, Antoine Spindler)

Prises de son : Marc Namblard

Illustration : Valérie Etterlen

Voix : Sylvie Brucker, Matthieu Epp (version française), Richard Doust, Julia Whitham (version anglaise)

Studio Voix : Innervision

Direction artistique : Gaëtan Gromer

Remerciements : Ecole élémentaire Jules Ferry (Russange)

Production : Les Ensembles 2.2

Credits:

Text: Matthieu Epp

Music: Svië (Gaëtan Gromer, Antoine Spindler) 

Sound recording: Marc Namblard

Illustration: Valérie Etterlen

Voices: Sylvie Brucker, Matthieu Epp (French version), Richard Doust, Julia Whitham (English version)

Voice Studio: Innervision

Art Direction: Gaëtan Gromer

2021 09

Port Data

2024-03-06T11:07:11+01:00Catégories : Soundwalk|Mots-clés : , , , , , , |

Musique pour un parcours sonore de type fiction – documentaire géolocalisé au quartier Port du Rhin à Strasbourg.

Textes écrits par Hélène Gaudy.

Le parcours est disponible sur l’application GOH.

Music for a fictional – documentary soundwalk geolocated in the Port du Rhin district of Strasbourg.

Texts written by Hélène Gaudy.

The soundwalk is available on the GOH application.

En pleine nuit, au bout d’un quai de la zone industrielle du Port du Rhin, quelque chose a brûlé. À travers tout le pays, des dysfonctionnements ont été constatés mais personne n’a vu le data center et sa nébuleuse de données disparaître dans les flammes. Sur place, il faut observer, arpenter, décoder les signes : écouter un paysage qui, peu à peu, se met à raconter une tout autre histoire. La mémoire a-t-elle une odeur quand elle brûle ? À quoi ressemblent ses cendres ? L’incendie fait resurgir d’autres nuits, d’autres disparitions, d’autres feux. Le long des quais portuaires, à la lisière du fleuve et de la forêt alluviale, se dessine la cartographie d’un territoire en mutation – un nuage de voix, de souvenirs, d’images. 

Récit audionumérique, l’œuvre mêle fiction et composition musicale, mais est aussi enrichie de la participation des habitants qui transmettent des histoires de vies liées aux lieux, afin d’ancrer le projet sur le territoire. Implantée à différents endroits du Port du Rhin à Strasbourg, Port Data invite à la déambulation pour (re)découvrir ce quartier à travers le son. Hélène Gaudy arpentait le Port du Rhin lorsqu’elle était étudiante à l’École des Arts décoratifs de Strasbourg au début des années 2000. Désormais romancière, elle revient sur les lieux pour y inscrire une fiction musicale inspirée de la vie du quartier, dont la composition est réalisée par Gaëtan Gromer, Clara Olivares et Antoine Spindler.

In the middle of the night, at the end of a wharf in the Port du Rhin industrial zone, something was burning. Throughout the country, malfunctions were reported, but no one saw the data centre and its nebulous data disappear into the flames.

On the site, you have to observe, survey and decode the signs: listen to a landscape which, little by little, begins to tell a completely different story. Does memory smell when it burns? What do its ashes look like? The fire brings back other nights, other disappearances, other fires. Along the harbour docks, at the edge of the river and the alluvial forest, the mapping of a changing territory is taking shape – a cloud of voices, memories, images.

A digital audio story, the work mixes fiction and musical composition, but is also enriched by the participation of the inhabitants who transmit life stories linked to the places, in order to anchor the project in the territory. Set across different places in the Port du Rhin in Strasbourg, Port Data invites you to wander around and […]

2021 02

Khôra

2024-03-06T11:07:32+01:00Catégories : Soundwalk|Mots-clés : , , , , , , |

Musique pour un parcours de fiction sonore géolocalisé à Thionville, Moselle.

Textes écrits par luvan.

Le parcours est disponible sur l’application GOH.

Music for a geolocated sound fiction walk in Thionville, Moselle (France).

Texts are written by luvan.

The soundwalk is available on the GOH application.

Dans un futur lointain, les animaux humains et non humains se partagent le territoire. Ils communiquent. On se déplace autrement. On sent l’espace autrement.

Doté·e de sens et d’affects nouveaux, vous explorez l’espace métamorphosé que deviendra Thionville. Les récits qui se dessinent à l’oreille sont parfois paisibles et beaux, parfois terribles. Khôra offre une expérience narrative, polyphonique et poétique, de weird fiction, naturaliste. Dotée de plusieurs strates vocales et musicales, la matière est différente selon le moment où l’on s’y embarque. Khôra signifie en grec « territoire ». Chez Platon, la khôra est l’espace en devenir, instable et mouvant. Elle se trouve entre l’être et le non-être. Une substance informe contenant tous les possibles.

In the distant future, human and non-human animals share the land. They communicate. You move differently. You have a different sense of space.

Equipped with new meanings and affects, you explore the transformed space that Thionville will become. The stories that emerge are sometimes peaceful and beautiful, and sometimes terrible. Khôra offers a narrative, polyphonic and poetic experience of weird fiction, which is naturalistic. With several vocal and musical layers, the material is different depending on when you embark on it. Khôra means ‘territory’ in Greek. For Plato, the Khôra is space in the making, unstable and moving. It lies between being and non-being. A formless substance containing all possibilities.

Dans le cadre de l’exposition « hIAtus » (Humain Intelligence Artificielle Terre Utopie Science) organisée par le Puzzle à Thionville. Imaginé pour Esch2022, Capitale européenne de la culture, Khôra constitue l’épisode pilote de la saga littéraire audionumérique In the field, dont les autres épisodes seront disponibles à partir de février 2022.

Avec le soutien du Puzzle Thionville, de la Drac Grand Est, de la Région Grand Est & Esch 2022, capitale européenne de la culture.

As part of the ‘hIAtus’ (Human Intelligence Artificial Earth Utopia Science) exhibition organised by the Puzzle in Thionville. Created for Esch2022, European Capital of Culture, Khôra is the pilot episode of the digital audio literary saga In the field, the other episodes of which will be available from February 2022.

With the support of  Puzzle (Thionville), DRAC Grand Est, Région Grand Est and Esch 2022, European Capital of Culture.

Crédits:

Textes : luvan

Musique : Gaëtan Gromer & Antoine Spindler

Illustration : Valérie Etterlen

Voix : Florine Chevrolet, Pauline Leurent, Jack Reinhardt & Régis Kante

Studio voix : Innervision (Prise de son : Gwénaël Graff ; suivi : Julien Wagner)

Production : Les Ensembles 2.2, Strasbourg

Direction artistique : Gaëtan […]

2019 08

Chants d’oiseaux

2020-05-25T11:32:29+02:00Catégories : Mixed music|Mots-clés : , , , , |

Programme hommage à Olivier Messiaen impliquant un dialogue entre orgues, musique électroacoustique et de vrais oiseaux. Première de cette version du programme, le 23 aout 2019, en l’Eglise Saint Pierre Le Vieux à Strasbourg pour le festival Stras’orgues.

Program created in tribute to Olivier Messiaen involving a dialogue between organs, electroacoustic music, and real birds.

Premiere on August 23, 2019, in the Saint Pierre Le Vieux Church in Strasbourg for the Stras’orgues festival.

O Messiaen : Chants d’oiseaux, du Livre d’orgue
G. Gromer : Chants d’oiseaux #1, pour oiseaux et électronique
O Messiaen : La joie de la grâce, du Livre du Saint Sacrement
G. Gromer : Chants d’oiseaux #2, pour oiseaux et électronique
Improvisation pour oiseaux, orgues et électronique

Guillaume Le Dréau, orgue/ organ

Gaëtan Gromer, électronique / electronic

LagenceVoid, scénographie / scenography

Les Ensembles 2.2 , booking

O Messiaen: Bird songs, from the Organ Book
G. Gromer: Bird songs #1, for birds and electronics
O Messiaen: The joy of grace, of the Book of the Blessed Sacrament
G. Gromer: Bird songs #2, for birds and electronics
Improvisation for birds, organs and electronics

Guillaume Le Dréau, organ

Gaëtan Gromer,  electronic

LagenceVoid, scenography

Les Ensembles 2.2 , booking

photos & video © Nicolas Goujon

2019 04

Le périple

2020-05-25T11:34:16+02:00Catégories : Mixed music|Mots-clés : , , , , , , |

pour alto, ensemble vocal et électronique en 5 mouvements. Création le 18 avril 2019 par l’Ensemble Vocal Magellan pour le concert de la Passion en l’Eglise St Thomas à Strasbourg. Durée : 25 minutes.

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Viola, vocal and electronic ensemble in 5 movements. Created on April 18, 2019 by the Vocal Magellan Ensemble for the Passion concert in St Thomas Church in Strasbourg. Duration: 25 minutes.

Photos © Adrien Fuchs

2018 12

Laisse le vent du soir décider

2020-05-28T16:47:59+02:00Catégories : Stage Music|Mots-clés : , , , , |

musique pour le spectacle Laisse le vent du soir décider de Espèce de Collectif. Danse contemporaine. Création au CCAM de Vandoeuvre le 19 décembre 2018.

+d’infos

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Music for the show Laisse le Vent du Soir Décider by Espèce de Collectif. Contemporary dance. Creation at CCAM de Vandoeuvre on December 19, 2018.

+d’infos

Laisse le vent du soir décider, c’est le titre du spectacle. Nous sommes trois, tels trois pièces d’un mécanisme, et nous cherchons à constituer un assemblage robuste. Il s’agit en fait de trouver le bon ajustement.

Ici, rien n’est statique mais en quête permanente d’équilibre. Trois, cela devrait mener à la stabilité et c’est bien le contraire qui se produit.Voilà, nous sommes pris dans le rouage d’une forme chaotique. Nous explorons les buttées d’un corps qui résiste, qui ne veut pas devenir machine. L’esprit attiré par l’élévation, les formes pures qui ne trouvent que matière brute et craquement. La nécessité de redonner du jeu là où le mouvement se bloque.C’est dans la construction, une projection de nous-même, que nous allons chercher à nous comprendre, à nous apprivoiser. Trouver la logique dans un assemblage où le degré de liberté est incertain. L’accumulation des contacts produit du mouvement, du désordre, de la joie. Il n’est pas toujours facile de comprendre la complexité d’une logique saturée de directions.Alors Laisse le vent du soir décider résonne comme un idéal, un abandon, une promesse d’organisation sans hiérarchie, sans commande. Quel peut être ce moteur en nous, qui autorise cette organicité ?

“Laisse le vent du soir décider” (let the evening wind decide), that’s the title of the show. There are three of us, like three parts of a mechanism, and we are looking to build a robust assembly. It’s actually about finding the right fit.

Here, nothing is static but in constant search for balance. Three, it should lead to stability and the opposite is the case. Here we are, caught in the wheel of a chaotic form. We explore the abutments of a body that resists, that does not want to become a machine. The spirit attracted by the elevation, the pure forms which find only raw material and creaking. The need to restore play where movement is blocked. It is in construction, a projection of ourselves, that we will seek to understand ourselves, to tame ourselves. Find logic in an assembly where the degree of freedom is uncertain. The accumulation of contacts produces movement, disorder, joy. It’s not always easy to understand the complexity of a logic saturated with directions. So “laisse le vent du soir décider” sounds like an ideal, an abandonment, a promise of organization without hierarchy, without command. What can be this engine in us, which authorizes this organicity?

DISTRIBUTION

Danse […]

2018 09

Hacking Garden

2020-05-22T12:26:33+02:00Catégories : Mixed music, Stage Music|Mots-clés : , , , , , , |

Musique pour un concert au centre d’un dispositif de spatialisation sonore pour huit enceintes et d’une scénographie de jardin éphémère avec mapping monumental sur la façade de l’opéra de Strasbourg.

Music for a concert at the center of a sound spatialization device for eight speakers and an ephemeral garden scenography with monumental mapping on the facade of the Strasbourg’s Opera house.

Création à l’Opéra National du Rhin de Strasbourg, les 25 et 27 septembre, dans le cadre du festival Musica et en partenariat avec l’Ososphère.

Quatre compositions qui se mêlent à celles d’Antoine Spindler et Christophe Fourmaux.

– avec Antoine Spindler (alto), Christophe Fourmaux (saxophone), GSTN (beat making), Gaëtan Gromer (sound design), Julie-Anne Weber (vidéos) and Philippe Arlaud (scénographie).

Premiere at the Opéra National du Rhin in Strasbourg, September 25 and 27, 2018, as part of the Musica Festival and in partnership with Ososphère.

Four compositions that mix with those of Antoine Spindler and Christophe Fourmaux.

– with Antoine Spindler (viola), Christophe Fourmaux (saxophone), GSTN (beat making), Gaëtan Gromer (sound design), Julie-Anne Weber (videos) and Philippe Arlaud (scenography).

photos © Klara Beck, Philippe Groslier, Adrien Fuchs

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